Fantaisies et balourdises

 Dans la cadre de son excellente série « l’ours et le lion », ‘Balourdises’ a le plaisir de vous offrir cette petite anecdote historique :

Grand chasseur Godefroi manquera en Cilicie d’être tué par un ours énorme qu’il a affronté corps à corps.

Sa force est stupéfiante.

Un jour, en Syrie, des cheiks arabes le défieront de décapiter d’un seul coup de sabre un chameau adulte et à l’instant la tête de l’animal roulera à leurs pieds.

Un chroniqueur écrira : « il fit une prouesse dont il sera toujours parlé » : d’uns seul coup d’épée, il coupa en deux le tronc d’un turc au niveau de la taille. « Le buste tomba à terre, tandis que le bassin et les jambes restaient accrochés au cheval qui s’éloignait au galop. »

(op. cité)

Balthazar serait  Président de la République, il proposerait dès aujourd'hui le portefeuille de Ministre des Sports à l' entraineur (a genious success-man) de notre équipe de foot-ball qui s'en va très loin disputer le championnat du monde de ce sac à fric.

Dans des circonstances similaires et sans se ridiculiser, M. Sarkozy avait bien utilisé la même méthode  avec M. Laporte , l'entraineur de notre brillante équipe de rugby.

bis repetita placent.

Florilège number two des spiqueuses et spiqueurs

Il prend sa chance

Il faut forcer

Là, il joue !

Il faut continuer.

Il n’y a pas beaucoup de ressort dans ce renvoi.

C’est un peu mou

Enfin…il est vrai que par cette chaleur…

Allez, il faut les jouer ces points.

On a eu peur

Allez, il faut enchainer

C’est le moment d’aller chercher le 5^ème set

Je crois que c’est ce qu’il faut souhaiter à Richard : ne pas s’écarter, pour suivre sa carrière.

Notre emblème national, le coq, faut-il en être fier ?

Le coq est l’animal batailleur par excellence.

Orgueilleux, inintelligent, il ne tolère point de rivaux.

Ce sont ces défauts qui firent du coq l’oiseau cruel qu’il est devenu.

Paradoxalement, les combats de coq en France sont restés essentiellement circonscrits dans la région Nord.

A Paris, on essaya vers 1828 d’implanter « ce sport ». La tentative échoua. « Le gallinodrome » du bois de Boulogne ne fit pas ses frais.

Les combats de coqs qui se livraient dans un hôtel du faubourg Saint-honoré n’eurent qu’une existence éphémère.

Depuis, à diverses reprises,  on essaya d’y intéresser le public, mais toujours avec une égale malchance.

Jamais le résultat ne répondit aux espérances des organisateurs.

(Maurice Level)